jeudi 14 mai 2009

Salon du luxe et du développement durable



Du 15 au 17 mai 2009, 1.618 Sustainable Luxury Fair : un nouveau luxe, Palais de Tokyo (Paris 8).

Un évènement ouvert à tous !

Pour la première fois, un salon propose d'associer luxe et développement durable, à travers une exposition à la fois artistique, culturelle et commerciale !

Soutenu par le ministère de la Culture et WWF, le salon présentera un grand nombre de produits et entreprises, soigneusement sélectionnés par un comité d’experts. Parmi les exposants nous pourrons voir le groupe Six Senses pour l’éco tourisme, Segway pour la mobilité, Fritsch et associé pour le design et SheerinOko pour la beauté.

10% de chaque billet acheté seront reversés au WWF pour soutenir leur lutte contre l’orpaillage illégale en Guyane.


Pour ceux qui ne sauraient pas de quoi il s’agit, l’orpaillage est un véritable fléau en Guyane française. L'exploitation aurifère est l'une des principales activités industrielles de la Guyane française et l’un des plus important revenu du pays. Mais cette industrie est cause de déforestation et plus grave encore de pollution au mercure des sols et des eaux. Rappelons que la Guyane française possède l’une des trois dernières grandes aires de forêt primaire tropicale du monde.


Enfin, parmi les différentes activités prévues au programme, notons aussi la projection du film Nous resterons sur terre de Pierre Barougier et Olivier Bourgeois, qui soulève un certains nombres de questions, notamment celle de la responsabilité de l’homme dans l’équilibre naturel de notre environnement. Un film vraiment très intéressant.

Avant de conclure ce post, rendons à César ce qui est à César ! Cette initiative, d'un salon associant luxe et développement durable, nous la devons à Barbara Coignet, directrice de BMCS, une agence commerciale et bureau de presse spécialisés dans le prêt à proter et l'accessoire de mode, qui vient tout juste de créer la société 1.618 Productions.


Liens :
site du salon 1618
document WWF sur l'orpaillage en Guyane
site qui traite de la problématique de l'orpaillage en Guyane : études caribéennes
site BMCS

1 commentaire:

Samuel Descamps a dit…

J'ai une petite critique à apporter au consensus qui entoure ce salon. Comme vous le dites si bien, c'est à une agence de communication que l'on doit cet évènement. Il faut ajouter que le rapport au développement durable dans les initiatives présentées n'est pas flagrant! Il serait d'ailleurs intéressant d'y participer pour s'assurer que les stands sont en bois recyclable!

http://alternatificience.blogspot.com/2009/05/salon-1618-paris-luxe-et-developpement.html