On fustige le politique, on sourit devant sa marionnette au guignol de l’info, on ironise devant un plan censé « créer les conditions favorables à l’émergence de cette nouvelle donne française en faveur de l’environnement ». Mais qui aurait pu penser que derrière cet éternel fêtard se cachait un véritable stratège qui dès 2007 allait prévoir des réponses aux impacts de la crise financière américaine sur l’industrie du BTP ?
Car aujourd’hui c’est officiel, après celui de l’automobile, c’est bien le secteur du BTP français qui fait état de ses difficultés (baisse des mises en chantier en 2008, voire arrêt de la commande publique). Et ce n’est pas les restrictions en terme de crédits immobiliers bancaires qui vont arranger la donne !
Or, naviguant sur le site du Ministère de l’écologie, un article intitulé « Les mesures du Grenelle Environnement vont dynamiser le secteur de la construction dès la fin 2009 » attire l’attention.
Ainsi, avant la crise financière d’octobre 2008, il semblerait que Monsieur Borloo et le Groupe de réflexion n°6 sur le thème de la compétitivité et de l’emploi aient trouvé le moyen de juguler les conséquences négatives de cette crise sur le BTP. Ceci tout en conservant une logique de développement durable. Les propositions du Grenelle de l’environnement peuvent donc être perçues aujourd’hui comme étant pertinentes au vue de la situation du BTP.
Le développement durable, « mot valise », serait-il en fait un vecteur favorisant réellement la création d’emploi ? Ou ne serait-il qu’un discours "poudre aux yeux" pour ceux qui recherchent une image citoyenne ?
Car aujourd’hui c’est officiel, après celui de l’automobile, c’est bien le secteur du BTP français qui fait état de ses difficultés (baisse des mises en chantier en 2008, voire arrêt de la commande publique). Et ce n’est pas les restrictions en terme de crédits immobiliers bancaires qui vont arranger la donne !
Or, naviguant sur le site du Ministère de l’écologie, un article intitulé « Les mesures du Grenelle Environnement vont dynamiser le secteur de la construction dès la fin 2009 » attire l’attention.
Ainsi, avant la crise financière d’octobre 2008, il semblerait que Monsieur Borloo et le Groupe de réflexion n°6 sur le thème de la compétitivité et de l’emploi aient trouvé le moyen de juguler les conséquences négatives de cette crise sur le BTP. Ceci tout en conservant une logique de développement durable. Les propositions du Grenelle de l’environnement peuvent donc être perçues aujourd’hui comme étant pertinentes au vue de la situation du BTP.
Le développement durable, « mot valise », serait-il en fait un vecteur favorisant réellement la création d’emploi ? Ou ne serait-il qu’un discours "poudre aux yeux" pour ceux qui recherchent une image citoyenne ?
Citronnier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire