La pollution est l’introduction de substances chimiques ou génétiques dans l'environnement à un point que ses effets deviennent nuisibles à la santé humaine, à celle d'autres organismes vivants, à l'environnement ou au climat.
L’étude de l’impact de la pollution de notre environnement sur notre santé constitue un enjeu vital.
Les deux défis de nos impératifs en information sur ce sujet sont d’identifier les nouvelles menaces qui peuvent affecter la santé de l’homme et de contrôler l’ampleur et l’évolution des risques déjà répertoriés.
En effet les pollutions nous affectent par des voies multiples. Afin de mieux les mesurer et les répertorier, des systèmes de surveillance et d’évaluation ont été mises en place au sein de nos sociétés.
La législation a mis en place des normes pour encadrer la contamination de l’air, de l’eau et des produits alimentaires. L’Europe avec l’adoption du règlement REACH vise à répertorier les dangers des produits chimiques crées par les industries.
Le plus souvent et parfois malgré les législations, ces systèmes de surveillance et d’évaluation doivent être améliorés voir renforcés face à l’action de lobbying de certains industries et politiques, voir Etats, irresponsables qui ne souhaitent pas que leurs activités soient identifiés et répertoriés comme polluantes.
Des scandales dénoncés ou « découverts » de manière régulière illustrent cette problématique comme la pollution du Rhône aux PCB (pyralène) annoncée dernièrement. L’exemple le plus emblématique de cet état de fait en France reste le scandale de l’amiante.
Les batailles de lobbying autour de l’adoption de REACH, acronyme de Registration Evaluation Authorization of Chemicals, ou de réglementations de CO2 entre industries et ONG mettent en exergue les jeux de certains acteurs afin de maximiser (à court terme) leurs bénéfices et subir le moins de pression réglementaire possible.
Cette stratégie est un mauvais choix.
Dans la guerre des normes autour des enjeux du développement durable et des enjeux de santé, les entreprises occidentales, appuyés par les Etats et l’Europe, doivent se différencier et se situer sur le plan des valeurs face à leurs rivales de certaines économies émergentes comme la Chine (1er émetteur de CO2, scandale du lait contaminé, des jouets contenant de la peinture au plomb) et bien d’autres qui ne tiennent pas compte de l’environnement et des problématiques de santé associées.
Par une stratégie adaptée et basée sur le développement durable, nos industries doivent en tirer avantage.
Cette stratégie passe d’une part par la mise en place de normes par les Etats encadrant strictement et fermement les productions polluantes (pas d’évaluation des conséquences, pas de contrat) et d’autre part en associant leur image au suivi d’une action responsable basée sur le développement durable.
Source : http://ec.europa.eu/news/environment/archives_fr.htm?Page=1
ALAIN
L’étude de l’impact de la pollution de notre environnement sur notre santé constitue un enjeu vital.
Les deux défis de nos impératifs en information sur ce sujet sont d’identifier les nouvelles menaces qui peuvent affecter la santé de l’homme et de contrôler l’ampleur et l’évolution des risques déjà répertoriés.
En effet les pollutions nous affectent par des voies multiples. Afin de mieux les mesurer et les répertorier, des systèmes de surveillance et d’évaluation ont été mises en place au sein de nos sociétés.
La législation a mis en place des normes pour encadrer la contamination de l’air, de l’eau et des produits alimentaires. L’Europe avec l’adoption du règlement REACH vise à répertorier les dangers des produits chimiques crées par les industries.
Le plus souvent et parfois malgré les législations, ces systèmes de surveillance et d’évaluation doivent être améliorés voir renforcés face à l’action de lobbying de certains industries et politiques, voir Etats, irresponsables qui ne souhaitent pas que leurs activités soient identifiés et répertoriés comme polluantes.
Des scandales dénoncés ou « découverts » de manière régulière illustrent cette problématique comme la pollution du Rhône aux PCB (pyralène) annoncée dernièrement. L’exemple le plus emblématique de cet état de fait en France reste le scandale de l’amiante.
Les batailles de lobbying autour de l’adoption de REACH, acronyme de Registration Evaluation Authorization of Chemicals, ou de réglementations de CO2 entre industries et ONG mettent en exergue les jeux de certains acteurs afin de maximiser (à court terme) leurs bénéfices et subir le moins de pression réglementaire possible.
Cette stratégie est un mauvais choix.
Dans la guerre des normes autour des enjeux du développement durable et des enjeux de santé, les entreprises occidentales, appuyés par les Etats et l’Europe, doivent se différencier et se situer sur le plan des valeurs face à leurs rivales de certaines économies émergentes comme la Chine (1er émetteur de CO2, scandale du lait contaminé, des jouets contenant de la peinture au plomb) et bien d’autres qui ne tiennent pas compte de l’environnement et des problématiques de santé associées.
Par une stratégie adaptée et basée sur le développement durable, nos industries doivent en tirer avantage.
Cette stratégie passe d’une part par la mise en place de normes par les Etats encadrant strictement et fermement les productions polluantes (pas d’évaluation des conséquences, pas de contrat) et d’autre part en associant leur image au suivi d’une action responsable basée sur le développement durable.
Source : http://ec.europa.eu/news/environment/archives_fr.htm?Page=1
ALAIN
2 commentaires:
Je crains que votre avis pertinent sur les pays pollueurs ne trouve ses limites dans le jeu "normal" de la concurrence.
Pour ce qui concerne les normes, il faut bien évidemment les édicter mais ensuite éviter de les changer tous les 4 matins. Les entreprises ont besoin de stabilité eut égard aux investissements nécessaires.
Merci et bravo pour votre post.
Merci Loup
Je pense effectivement qu'un changement du mode de croissance actuel est indispensable eu égard aux enjeux de développement durable, notamment en terme de pollutions mais pas seulement.
Je pense qu'il s'agit simplement de bon sens.
Alain
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