A la suite de mon post du 2 février 2009, je poursuis sur le thème de l’environnement et de la santé.
Les principaux modes de contamination chimique et biologiques sont la pollution de l’air ambiant (à l’intérieur comme à l’extérieur), de l’eau et des aliments, l’exposition à des facteurs physiques crées par l’homme tels que les radiations, ondes, produits chimiques, bruit,…
Si les systèmes d’évaluation des pollutions restent à être perfectionnés, d’après l’analyse des informations dont nous disposons actuellement, la pollution atmosphérique est à l’origine des risques sanitaires les plus élevés.
Certaines maladies, comme l'asthme, les allergies et cancers infantiles, sont aujourd’hui plus fréquentes. Mais les explications de l’augmentation de ces affections restent difficiles à cerner de manière définitive à l’heure actuelle.
Une des priorités reste l’identification et l’évaluation des pollutions créées par l’homme.
L’Europe met en avant dans ce domaine la technique d’analyse « évaluation de l’impact sanitaire » (EIS). L'EIS reproche sur une approche qualitative à partir du recueil des informations et sur une approche quantitative à partir de l'évaluation des niveaux d’exposition – identification des relations exposition, réaction ainsi que des valeurs seuils impacts - estimation des incidences sur l’environnement, la santé et les coûts induits.
Bien que l'environnement ne soit pas le cœur de métier de l'Intelligence Economique.
Tant dans l’approche qualitative que quantitative, certaines techniques de l’Intelligence Economique peuvent apporter une plus-value conséquente aux industries et aux entreprises pour évaluer les impacts de leurs activités sur l’environnement et les interactions avec ce dernier :
- recueil des informations et leur analyse,
- analyse territoriale des impacts de pollution créés,
- cartographies et matrice socio-dynamique des acteurs (en interne comme en externe) de l’entreprise et de son environnement ;
- analyse, évaluation et hiérarchisation des risques d’une part, des forces-faiblesses-opportunités-menaces ;
- élaboration de stratégies adaptées ou alternatives pour répondre aux différents risques,
- et rédaction de préconisations d’adaptation à ces problématiques et planification des actions en collaboration avec les autres acteurs (y compris dans les plans de sécurité visant à réduire les risques d’accidents majeurs et à réagir dans ce cas),
le tout dans une optique de développement durable.
Source : http://ec.europa.eu/news/environment/archives_fr.htm?Page=1
ALAIN
2 commentaires:
Très belle approche; enfin un article qui relate bien le rôle que peut jouer l'IE dans le DD.
Jolie post concernant les problématique de pollution.
Je suis également persuader que l'IE permettra de rajouter son grain de sable stratégique à cette problématique.
petit lien concernant l'activité humaine par pays et donc de pollution
(photo de pollution lumineuse) :
http://www.have-a-look.fr/blog/index.php/2007/01/10/109-carte-de-france-de-la-pollution-lumineuse
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